Jeudi 2 mai 2024
Les mots de bienvenue et le discours d’ouverture
Le séminaire, qui se tenait au Kloster Heidberg d’Eupen, a commencé à 14h avec les mots de bienvenue de Karl-Heinz Lambertz, président du Parlement de la Communauté germanophone depuis 2019. Monsieur Lambertz a notamment fait le lien entre sa carrière politique et le thème du séminaire : la résilience et la coopération interculturelle.
Le panel : la coopération interculturelle en tant qu’outil de résilience (présidente de session : Anne Thévenet, directrice de l’Euro-Institut de Kehl)
Marie-Christine Aquatias, professeure à Sciences Po Strasbourg, a évoqué au cours de sa présentation l’exemple franco-allemand tandis que Eithne Knappitsch, professeure de management interculturel à l’Université Carinthia des Sciences appliquées située à Villach en Autriche, a parlé des langues proposées dans son université, en citant notamment le slovène et l’italien. Elle a expliqué l’importance de proposer les langues des pays voisins à l’université.
Une table ronde : la dimension interculturelle dans la pratique de la coopération transfrontalière (présidente de session : Frédérique Berrod, professeure à Sciences Po Strasbourg)
Fabienne Schimek, chargée de projet à l’Euro-Institut, a présenté le travail et les missions de l’Euro-Institut, celui-ci s’inscrivant parfaitement dans le cadre de la coopération transfrontalière. Anne Thévenet a ensuite évoqué le cas de la maison de la petite enfance franco-allemande située à Kehl. Eithne Knappitsch a clôturé cette table ronde en présentant le projet SIETAR Austria, qui s’inscrit lui aussi dans le cadre de la coopération transfrontalière.
Une table ronde sur la dimension interculturelle, l’engagement, la coopération transfrontalière, les citoyens : quatre ingrédients, une recette (présidente de session : Birte Wassenberg, professeure à Sciences Po Strasbourg)
La table ronde a rassemblé : Anthony Soares, directeur du Center for Cross-Border Studies (CCBS) situé à Armagh en Irlande du Nord, Anne Thévenet, Martin Unfried, chercheur à l’Université de Maastricht, Peter Ulrich, chercheur et professeur junior à l’Université européenne Viadrina Centre B/ORDERS IN MOTION et à l’Institut Leibniz pour la recherche sur la société et l’espace et Fabienne Leloup, professeure à l’Université catholique de Louvain. Chacun a apporté son analyse et a présenté le cas d’études sur lesquel il ou elle travaille.
Vendredi 3 mai
Ouverture et introduction
La journée du vendredi 3 mai a commencé par l’ouverture ainsi que l’introduction toutes deux présentées par Birte Wassenberg et Anne Thévenet. Celles-ci ont été les modératrices de la journée.
Session plénière
Birte Wassenberg, directrice du Centre d’excellence Jean Monnet de Strasbourg, et Frédérique Berrod, directrice adjointe, ont présenté le travail du Centre sous le prisme de la coordination scientifique. Fabienne Schimek a ensuite en présenté les résultats du sondage envoyé avant le séminaire aux membres du réseau.
« World Café »
Le « World Café » a été conçu de manière à ce que les membres de TEIN soient placés sur trois tables, chacune couvrant un sujet : le positionnement, la structure et le financement. Les participants ont ainsi pu échanger leurs points de vue sur les thématiques et proposer des idées afin de renforcer le réseau.
Présentation des résultats
Chaque représentant a résumé les idées évoquées dans son groupe. Birte Wassenberg et Anne Thévenet ont ensuite présenté leurs idées. Le lien avec d’autres réseaux comme le CESCI, la MOT ou l’AEBR a aussi été mentionné.
Samedi 4 mai
Une discussion ouverte a été lancée afin de clôturer ce séminaire.